La philosophie dans l’académie de CRETEIL
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Sciences : leçons et conférences en vidéos
  • Une Vie, une œuvre : Archimède - "De l’invention qui vient à la science"
  • La philosophie du Moyen-Age et de la Renaissance : Giordano Bruno
    Connaissance de l’homme
    audio 24 août 1955 14min 09s
    Causerie sur la vie et l’oeuvre de Giordano BRUNO, philosophe italien du XVIème siècle par Paul Henri MICHEL, historien des sciences. Giordano BRUNO, philosophe audacieux, scientifique précurseur des sciences modernes, a découvert qu’il existait un univers et qu’il était infini. Sa fin sur le bûcher de l’inquisition romaine en fit un martyr de la libre pensée.

Des sciences et des techniques

Cité des sciences, cycle de conférences "l’âge d’or de la science arabe"
Comment est née la science ? Anaximandre, premier scientifique
Conférence donnée à l’IAP le 1er février 2011, par Carlo Rovelli, Professeur à l’Université de la Méditerranée (Centre de physique théorique de Luminy, Marseille).
Jan Clarke, le développement du merveilleux chez Thomas Corneille de 1673 à 1681 (décor, machines, éclairages)
Le théâtre au XVIIe siècle

Galilée : la loi de la chute des corps
Paris Sciences et Lettres
Sophie Roux
Conférence du cycle pluridisciplinaire d’études supérieures (CPES) donnée le 18 décembre 2014 par Sophie Roux, professeur à l’Ecole normale supérieure, Département de philosophie.

Simon Galas Professeur à l’université de Montpellier 1, directeur d’une équipe de recherches en génétique moléculaire de la sénescence présente
Jean-Claude Ameisen Médecin, immunologiste, chercheur en biologie à l’INSERM : La volonté que la liberté de l’autre soit
Conférences 2012-2013, Agora des Savoirs, Saison 4 : Usages des savoirs et des sciences
Centre Rabelais, Montpellier, 6 novembre 2012
Il n’y a pas de véritable démocratie sans partage de l’accès aux connaissances et de la possibilité de produire des connaissances. Il n’y a pas de connaissances qui ne soient ouvertes sur les autres et tissées avec les autres, et qui ne soient remises en question en permanence. C’est la démarche même des sciences, la condition du caractère ouvert et vivant des savoirs. A l’ombre des territoires révélés en pleine lumière dorment des continents inconnus - les connaissances de demain. Et seule la conscience de notre ignorance nous permet de nous y aventurer. La connaissance est du pouvoir disait Francis Bacon. Pouvoir de comprendre, et pouvoir d’agir sur le monde, sur nous-mêmes et les autres. Et avec le pouvoir vient - devrait venir - la responsabilité. Mais il n’y a pas de véritable responsabilité sans possibilité de choisir. Il n’y a pas de véritable choix sans liberté, et il n’y a pas de véritable liberté sans incertitude. A mesure que nous repoussons toujours plus loin les frontières de nos connaissances, la reconnaissance de la noblesse de cette incertitude est la condition même de l’exercice de notre liberté et de notre responsabilité (extrait de la présentation de la Conférence)
Jean-Marc Lévy-Leblond Physicien, philosophe, professeur émérite de l’Université de Nice et directeur de la revue Alliage, Sur le Pont des Arts : arts et sciences pour de brèves rencontres

Dominique Lecourt : Le mythe de la science fonctionne-t-il encore ?
Centre Rabelais, Montpellier, 10 novembre 2010
Le dix neuvième siècle a inventé et répandu le "mythe de la science". Les contemporains de la révolution industrielle en ont donné et diffusé deux versions : celle de la toute-puissance et celle de l’émancipation. Ce mythe apparaît aujourd’hui fallacieux. La toute puissance est à manier avec précaution ; la prétendue émancipation couvre bien des asservissements intellectuels. Au "mythe de la science" semble se substituer un retour au mythe de la nature...( Présentation)
Dans cette vidéo , l’historien de sciences Jérôme Lamy s’appuie sur les textes originaux pour replacer l’affaire Galilée dans l’histoire de la science moderneL’affaire Galilée Canal U

La science telle qu’elle se fait : citéphilo 2015
Science et croyance
Les ingénieurs de la Renaissance
Comment mathématiciens et théoriciens de la physique cherchent-ils à comprendre le monde ?
Histoire des sciences et des savoirs
Le siècle des technosciences
Les mathématiques et l’expérience
Comment le corps se défend-il face à lui-même ?
Le modèle scientifique à l’épreuve de la pratique

La vulgarisation des sciences

Mathématiques : une vulgarisation impossible ?
Sylvia Serfaty, Martin Andler
Conférence du 6 juin 2017 Bnf
durée : 55 min

La vulgarisation scientifique 2.0
Florence Porcel, Marion Montaigne
Conférence du 30 mai 2017 BNF
durée : 62 min

Exposer la science
Christiane Demeulanaere-Douyere, Jean-François Belhoste
Conférence du 23 mai 2017 BNF
durée : 92 min

Les sciences à travers le spectacle vivant
Daniel Raichvarg, Valérie Piederrière, Eric Piederrière
Conférence du 16 mai 2017 BNF
durée : 73 min

Le livre de vulgarisation scientifique pour enfants
Virginie Meyer, Marie-Agathe Le Gueut, Didier Leterq
Conférence du 9 mai 2017 bnf
durée : 70 min

Le journalisme de vulgarisation scientifique
Sophie Becherel, Jean-Yves Mollier, Jean-Marc Galan
Conférence du 2 mai 2017 BNF
durée : 65 min

Les enjeux de la vulgarisation scientifique
Pierre-Henri Gouyon, Etienne Klein
07/12/2017
Séance dans le cadre du séminaire Actualité Critique de l’ENS, au premier semestre 2017-2018. Avec Pierre-Henri Gouyon, chercheur sur la théorie de l’Evolution, spécialiste de la génétique et de la biodiversité et Etienne Klein, physicien, direct...

 LA NOUVELLE NORME DE VÉRITÉ : SCIENCE ET PHILOSOPHIE À L’ÂGE CLASSIQUE(P. GUENANCIA)

Les mathématiques, selon la célèbre formule de Spinoza, ont apporté aux hommes une autre norme de vérité. C’est cette norme nouvelle qui a permis la révolution galiléenne suivie par Descartes et tous les savants et philosophes de l’âge classique. « La nature est écrite dans la langue mathématique ». Cette autre formule célèbre de Galilée signifie que la nouvelle science de la nature est fondée sur l’utilisation des mathématiques qui est non seulement la clé de l’explication de tous les phénomènes de la nature, mais qui est aussi le modèle de la certitude. Avant d’être définie par la correspondance avec les choses, la vérité désigne ce que l’esprit humain usant de méthode conçoit clairement et distinctement : ce que Descartes nommera dans les Méditations la règle générale de la vérité.

Pierre Guenancia