La philosophie dans l’académie de CRETEIL
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Art en vidéo-audio

L’art

Rencontres Philosophiques de Langres 2018

Décryptages

 L’abbaye de Conques Présentation en décryptage

- Leçon de Jean-Louis POIRIER, Doyen honoraire de l’Inspection Générale de Philosophie, portant sur la qu&estion de « L’imitation dans l’art ». Diffusée dans la matinée du 25 octobre 2012, elle a été suivie, dans l’après-midi, d’une leçon portant sur le mot de Pascal : « Quelle vanité que la peinture ! »
Documents pédagogiques 1, 2 et 3. Ensemble s’inscrivant dans le cadre des séances TICE des partenaires du Projet Europe, Éducation, École.

 

  • LASCAUX, PRÉHISTOIRE DE L’ART
    Film de la série "Palettes", ce document traite de l’art pariétal préhistorique à partir d’une analyse fine des images du site de Lascaux. Le lien avec l’environnement préhistorique permet d’analyser les techniques mises en oeuvre et de les confronter à celles des autres époques.
    Alain Jaubert

ART ET REEL

DU RÉEL - GUY-FÉLIX DUPORTAIL
Au programme de cette rencontre Proto-Philo organisée par la bibliothèque Cuzin de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Guy-Félix Duportail, maître de conférence en philosophie à l’Université Paris 1, répondait aux questions de Bernard Passavy (doctorant en philosophie à l’Université Paris 1) et Raphaël Ehrsam (maître de conférence en philosophie à l’Université Paris 4), à propos de son ouvrage Du Réel paru aux éditions Hermann en 2017.

LE SYMBOLE

Art et symbole


 A partir de l’Esthétique de Hegel, II, 1, ch. 3 : La symbolique consciente : fable, parabole, proverbe, allégorie, métaphore par Hélène DEVISSAGUET, Professeur de philosophie au lycée Richelieu, Rueil-Malmaison
textes
EEE 2009 vidéo

 Une histoire de peintures,1-16, par Daniel Arasse


 Voir ne pas voir Hubert Damisch 08/06/2006 Que voit-on dans un tableau ? Et si tout conspire à ce qu’on n’y voie guère, sinon rien, peut-on attendre de l’histoire qu’elle soit de quelque secours en la matière ? : Daniel Arasse en a fait le pari, mais pour y reconnaître une affaire moins d... Anselm Kiefer, Daniel Arasse, la matière de la mémoire Danièle Cohn 10/06/2006 Le colloque organisé par l’Institut national d’histoire de l’art, l’École des hautes études en sciences sociales, l’université Paris I Panthéon-Sorbonne, l’École normale supérieure, l’ARIAS et le Centre d’études supérieures de la renaissa...

 Discussion du 6 mai 2009 avec Georges Didi-Huberman au sujet de son dernier livre publié aux éditions de Minuit : Quand les images prennent position. Date de publication 14/05/2009 Durée 01:43:40 _ Conférence de Georges Didi-Huberman tenue le 11 octobre 2013 à Montréal à l’Université du Québec à Montréal.

 Qu’est-ce qui est à l’oeuvre dans l’oeuvre d’art ?
Cours donné en visioconférence le 03/10/2013 par Philippe TOUCHET, Professeur de Premières Supérieures au Lycée Gustave Monod, à Enghien.
Pourquoi, si l’œuvre n’était d’abord que le produit d’un acte de l’artiste, devrait-on, en outre, se demander ce qui est à l’œuvre en elle, en tant qu’œuvre ? Tout se passe comme si l’existence de l’œuvre elle-même était irréductible à l’agir propre de l’artiste. Non seulement l’œuvre continue d’agir hors de sa présence, comme le prouve la pérennité des œuvres elles-mêmes. Mais elle est à l’œuvre dans un ordre de réalité immanente, qui fait qu’elle semble agir dans le moment même où elle est, dans une présence, elle-même irréductible à tout produit.

 Anselm kiefer
14/01/2013 France5
Anselm Kiefer a installé un premier atelier dans le sud de la France en 1993 puis un second en 2007 en région parisienne. Ces espaces sont monumentaux, et c’est là qu’Entrée Libre a exceptionnellement pu rencontrer celui qui, en 2007, avait été le premier artiste à exposer dans le cadre de Monumenta.


 Les tapis orientaux dans l’art européen
Institut du monde arabe, Quantara

 L’art dans ses rapports avec l’angoisse - Débat avec Paul Ricœur et Jean Starobinski - 1953 RTF
 La peinture et l’absolu
Catherine Millet, Bertrand Lavier
animé par Donatien Grau, Hans-Ulrich Obrist BNF 2012

 LE SENS DE L’ART2000
Artiste à l’origine de nombreuses polémiques notamment concernant la réalisation des « Colonnes de Buren » au Palais Royal de Paris, Daniel Buren nous livre lors de cette conférence son sens de l’art.

Il décrit, décrypte certaines de ses réalisations, reflets de ses convictions artistiques.

LE BEAU

 De l’objectivité du beau : des mathématiques à l’art par Francis Wolff ENS
vendredi 20 janvier 2017


 La beauté à l’épreuve du subjectivisme Conférence donnée par Sébastien Réhault dans le cadre des Lundis de la philosophie. 2014 Savoirs ENS

 La beauté et la science : faux amis, amours déçues ? par Nadeije Laneyrie Dagen
École normale supérieure
vendredi 20 janvier 2017

 Le cours d’Alain CHAUVE, Inspecteur honoraire de philosophie, portant sur LA BEAUTÉ DE LA NATURE, diffusé le 04 février 2016 depuis le lycée Jean-Pierre Vernant de Sèvres dans le cadre duProgramme Europe, Éducation, École est disponible en vidéo sur le site Europe, Éducation, École.
1 : cours
2 : explication d’un texte de Kant et questions

et sur son canal Dailymotion :
1 : cours
2 : explication d’un texte de Kant et questions
Ce cours est également disponible en version écrite à l’adresse suivante

Art et science

ART ET SCIENCE : UN BEAU MARIAGE ?
Avec Anne-Marie Duguet, professeur à l’université Paris 1, directrice du laboratoire Les Arts et Médias, et Jean-Claude Ameisen, président du comité d’éthique de l’Inserm et professeur d’immunologie à l’université Paris 7.

ART ET TECHNIQUE

 Jean François Courtine HEIDEGGER, L’ART, LA TECHNIQUE (PAR JEAN-FRANÇOIS COURTINE)

 DÜRER, SCHILLER, HEIDEGGER : L’ŒUVRE D’ART, LA CHOSE, LE MONDE (PAR JEAN-FRANÇOIS COURTINE)

ART ET TRAVAIL

 Le travail de l’artiste : un modèle ? (BPI Art - Mai 2018)

LE TEMPS ET L’ART

 Craquelures et matière picturale : le temps fait son œuvre
vendredi 20 janvier 2017. ENS

Exposé de Ludovic Pauchard dans le cadre de la Journée Bram 2017 (16ème journée de Conférences en Histoire des Sciences et Epistémologie)

Les craquelures dans les matériaux apparaissent à différentes échelles et présentent des morphologies très variées : germes isolés, réseau de fractures connectées entre elles, décollement d’un support... La plupart du temps indésirables dans les revêtements, les craquelures peuvent être d’un grand intérêt pour la connaissance des tableaux de Maîtres. Elles sont en effet caractéristiques de la matière picturale employée.
Guidé par cette problématique un système modèle est étudié : une couche de dispersion de particules colloïdales qui, au cours de l’évaporation du solvant, conduit à la formation d’une couche fragile, siège de fortes contraintes mécaniques.
En particulier, les générations successives de craquelures formées seront présentées en fonction de l’épaisseur de la couche solidifiée, de son caractère plus ou moins fragile.

 Ioulia Podoroga. Peut-on voir le temps ? Bergson entre art et philosophie

"L’art est une métaphysique figurée" (Bergson) par Jean DEVOS, Professeur de philosophie en classe de Première Supérieure au Lycée militaire de Saint-Cyr EEE 2012


 La critique d’art : "prose du monde" ou pureté du plan ? (Baudelaire, Greenberg et Mallarmé) audio Claire Brunet (ENS-Cachan, Design) 11 février 2011

 Les trois mondes de l’art
Francis Wolff

Séminaire hebdomadaire du département de philosophie de l’Ecole normale supérieure proposépar Francis Wolff, destiné à présenter quelques aspects originaux de la pensée philosophique en train de se faire, que ce soit en philosophie générale ou dans quelques domaines spécialisés. Chaque séance comprend deux parties égales : un exposé, généralement par un invité, une discussion des thèses présentées.

"L’« art » dont il sera question n’est pas celui des grandes œuvres, chargées de valeur esthétique ou émotionnelle, mais une manifestation universelle de l’esprit humain, sensible dès l’expression enfantine.Partout où il y a des hommes, il y a de la musique, sous quelque forme que ce soit ; partout, il y a des images, sur quelque médium que ce soit ; partout, il y a des récits, à quelque genre qu’ils appartiennent (contes, mythes, légendes, histoires, romans, films, etc.).On montrera que la musique, ou l’art des sons, doit être fondamentalement conçue comme l’accès à un monde imaginaire dans lequel la représentation des événements (les sons) et leur relation causale se suffit à elle-même. De même, les arts de l’image doivent être conçus comme l’accès à un monde où les choses sont représentées comme des essences immuables. Cependant nous ne sommes pas au monde comme au spectacle mais comme des agents du monde. C’est pourquoi, par différence avec les deux types d’art précédents, les arts du récit nous donnent accès à un monde où des personnes (des êtres personnifiés) peuvent agir, sans être réduites à des choses ni leurs actes à des événements causés les uns par les autres.Ces trois arts renvoient à trois universaux du langage : pouvoir nommer et pouvoir prédiquer — correspondant à deux types d’objets du monde, les choses et les événements ; et pouvoir dire et penser « je », correspondant, non à des objets, mais à la possibilité de sujets."

ARTISTES

 Exposition-conférence de Christian Boltanski
Christian Boltanski, Bernhard Jussen

Christian Boltanski est un artiste-plasticien né en 1944 à Paris. Depuis les années 1960, son travail interroge l’expérience humaine du temps, de la mort et du souvenir – des photographies d’inconnus décédés aux boîtes de biscuits rouillées par le temps, et cela avec un humour parfois ravageur. Christian Boltanski réutilise ce qui est usé – espaces, vêtements, effets personnels – dans des installations plus proches d’autels religieux que d’œuvres destinées à des musées ou au marché de l’art.

Sa carrière a été marquée par plusieurs distinctions internationales (Documenta 1972 et 1986, Biennale de Venise 1993 et 1996, Carnegie International 1991) qui en font, aux côtés de sa compagne Annette Messager, l’un des artistes français les plus connus aujourd’hui.

Bernhard Jussen est professeur d’histoire médiévale et moderne à l’université de Frankfurt-am-Main depuis 2008. Il a été lauréat du plus grand prix allemand de la recherche, le prix Gottfried Wilhelm Leibniz, en 2007. Ses travaux s’intéressent à la royauté médiévale, aux images historiques issues de publications de masse accessibles au grand public (histoires nationales, livres d’école, images et vignettes publicitaires), et à l’histoire dans son rapport à l’art contemporain.

C’est sur ce dernier thème qu’il a entamé un dialogue avec Christian Boltanski, sur sa manière artistique de lire et d’interpréter l’histoire et la mémoire contemporaines. C’est à sa demande que Christian Boltanski réalise, en 2004, Signal, à partir de la revue nazie Signal. De ce dialogue sont nés un livre, Signal – Christian Boltanski, édité par Bernhard Jussen (Von der künstlerischen Produktion der Geschichte 5, Göttingen, 2004) et la soirée-exposition organisée par l’École normale supérieure le 10 avril 2008.

 SUR HOPPER :
Hopper, ce n’est pas l’Amérique Jean Kempf 14/05/2004 Conférence extraite du colloque "Vous avez dit Hopper ?"Colloque organisé par le Musée d’Art Américain Giverny en collaboration avec la Passerelle des Arts de l’École normale supérieure.Organisateurs : Jean-Loup Bourget (ENS) et Elizabeth Glassm...
Hopper/Evans, Spaceless Atmosphere, les expositions de 1933 Eric De Chassey 14/05/2004 Conférence extraite du colloque "Vous avez dit Hopper ?"Colloque organisé par le Musée d’Art Américain Giverny en collaboration avec la Passerelle des Arts de l’École normale supérieure.Organisateurs : Jean-Loup Bourget (ENS) et Elizabeth Glassm...
Relations culturelles internationales, acculturation, initiation : la preuve par Hopper Pascal Ory 14/05/2004 Conférence extraite du colloque "Vous avez dit Hopper ?" Colloque organisé par le Musée d’Art Américain Giverny en collaboration avec la Passerelle des Arts de l’École normale supérieure.Organisateurs : Jean-Loup Bourget (ENS) et Elizabeth Glas...
Hopper et l’art contemporain Ulrich Wilmes 14/04/2004 Conférence extraite du colloque "Vous avez dit Hopper ?" Colloque organisé par le Musée d’Art Américain Giverny en collaboration avec la Passerelle des Arts de l’École normale supérieure. Organisateurs : Jean-Loup Bourget (ENS) et Elizabeth ...

 Mark Rothko

Le 22 mars 2014, l’émission “Une vie, une oeuvre” diffusée tous les samedis sur France Culture, était consacrée à l’évocation du peintre américain, Mark Rothko (1903-1970). Par Matthieu Garrigou-Lagrange et Isabelle Yhuel. Rothko était très agacé lorsqu’on évoquait le zen ou les pratiques mystiques orientalistes pour décrire son travail. Sa peinture, toute colorée qu’elle soit, n’était en rien le fruit d’une recherche d’apaisement. Elle n’avait rien de décoratif, ni de plaisant, au contraire. Pour preuve : quand, en 1958, un grand restaurant New Yorkais lui commande une fresque, il « n’accepte cette tâche que comme un défi, avec des intentions rigoureusement malveillantes ». Après quelques semaines de travail, dînant dans ce fameux restaurant, il se rend compte de l’impossibilité d’honorer son contrat, même en le dévoyant : « J’interdis à quiconque mangera ce type de nourriture pour ce type de prix, de jamais regarder aucune de mes œuvres ! ». La profondeur métaphysique des toiles de Rothko, l’angoisse et la révolte dont elles sont chargées, voilà le fil invisible de ce numéro d’“Une vie, une œuvre”.

Avec :
Annie Cohen-Solal, auteur d’une biographie de Rothko (Actes Sud)
Stéphane Lambert, écrivain, auteur de “Mark Rothko : rêver de ne pas être” (Ed les impressions nouvelles)
Marcellin Pleynet, critique d’art
Isy Morgensztern, réalisateur d’un film sur Mark Rothko, Ed. Montparnasse,professeur en histoire des religions
Didier Mencoboni, plasticien
Source : France Culture

 Soulages

Soulages - Processus de création - 1981 INA

Poésie

 Stéphane MALLARMÉ

Stéphane MALLARMÉ, film réalisé par Éric Rohmer (1966, 27min)
"Entretien avec Mallarmé", film réalisé par Éric Rohmer en 1966 pour l’Institut de la Mémoire nationale, la télévision scolaire de l’époque. Stéphane Mallarmé est incarné par le comédien Jean-Marie ROBAIN.
Mise en ligne par Arthur Yasmine, poète vivant.
Site officiel : https://www.arthuryasmine.com/

 Paul Eluard

ELUARD, LA POÉSIE EN LIBERTÉ donné en visioconférence le 20 mars 2014
par Jean-Pierre LANGEVIN, Professeur de littérature au lycée Jean-Pierre VERNANT de Sèvres :
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Projet Europe, Éducation, École

 Le langage poétique et le langage de l’image chez Eluard et Man Ray,
donné en visioconférence interactive à Sèvres le 29 janvier 2015 par Jean-Pierre LANGEVIN,
Professeur de littérature au Lycée Jean-Pierre VERNANT :
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Première partie : cours proprement dit

Deuxième partie : questions et discussion
EEE

 Yves Bonnefoy

A l’occasion d’une rencontre exceptionnelle à l’ENS en 2011 , Yves Bonnefoy proposait une lecture extraite de la première partie, "La Pluie d’Été", de son recueil "Les Planches courbes" (2001)
Thèmes : Litteratures et Langues
Catégories : Savoirs+

Le Moyen Âge d’Yves Bonnefoy : un sacré pour aujourd’hui ?
Daniel Lançon
16/09/2011
Yves Bonnefoy dit se sentir proche" de l’immédiateté terrestre, de ses grandes propositions silencieuses, au-delà des mots". Dans sa revue l’Ephémère, il dit avoir eu le sentiment d’une "faille" : l’immédiateté sensible ne paraît un but qu...
Catégories : Colloque Mémoire du Moyen-Age dans la Poésie contemporaine

Cinéma

Voir aussi rubrique cinéma

 Chéreau dans l’histoire ? Filmer la violence dans La Reine Margot
Antoine De Baecque
21/03/2015
Exposé lors de la journée d’études "Raconter l’Histoire ? La Reine Margot de Patrice Chéreau", organisée par Françoise Zamour et Anne Françoise Benhamou (ENS - UMR THALIM). Antoine de Baecque s’intéresse au thème de la violence, à travers ...

 Table-ronde autour du film Le Pays des sourds Sylvain Kerbourc’h, Barbara Fougère, Christian Deck
27/01/2015
Table-ronde (traduite en langue des signes) autour du film de Nicolas Philibert, Le Pays des sourds (1993), organisée par le cinéclub de l’ENS Ulm et l’association Les Handinattendus. Discussion en présence de Sylvain Kerbourch, Barbara Fougè...

 Le péplum : César et Cléopâtre de Mankiewicz Françoise Zamour 26/03/2013
Conférence donnée dans le cadre de la Journée "Découvrir les historiens antiques" organisée par l’Association"Journées Découvrir l’Antiquité" , des journées à destination des collégiens et des lycéens. Françoise Zamour, chercheuse en é...

 Truffaut et Renoir Andrew Dudley
12/05/2011
En fait, Dudley Andrew s’intéresse pas seulement à Renoir et Truffaut mais au triangle qu’il formaient avec Bazin.Entre 1948 et 1953, la vie de Renoir subit de grands changements : il quitte Hollywood pour l’Inde. Bazin, lui, commence à centrer se..

 But war means death. La mise à mort de l’ennemi dans un cinéma sous contraintes : le film de combat américain de la Seconde Guerre mondiale, 1942-1945 Alain Kleinberger 26/03/2009
"Dans la mise en scène de la mort de l’ennemi, Hollywood a-t-il pu concilier les impératifs du Code de Production, les attentes de la doctrine Wallace telles que les relaie l’Office of War Information, les exigences du public et celles des cinéast...

 Eisenstein aficionado : la corrida dans ses dessins et ses films Ada Ackerman 17/12/2005
Lorsque Eisenstein se rend au Mexique, en 1930, pour tourner un film sur ce pays, il se passionne pour la culture mexicaine et ses rituels, notamment la corrida. Consacrant une séquence de ¡Que Viva Mexico ! et un nombre important de dessins au...

 Rencontre autour de Free Zone d’Amos Gitaï
Jean-Loup Bourget, Pierre-Marc De Biasi, Amos Gitaï 14/11/2005
Rencontre autour du film Free Zone (2005) entre Amos Gitaï, Jean-Loup Bourget et Pierre-Marc de Biasi. Interprètes du film : Natalie PORTMAN, Hanna LASLO, Hiam ABBASS, Aki AVNI, Carmen MAURASynopsisRebecca, une Américaine qui vit à Jérusalem de...

 Leibniz, Cavell : la pensée sensible

Penser les genres cinématographiques Présidence : Sandra Laugier Un second souffle pour la philosophie du cinéma en France L’ambition de ce colloque interdisciplinaire est de contribuer à la réception de la pensée du cinéma du philosophe américain Stanley Cavell, en interrogeant ses travaux dans une perspective croisant la théorie cinématographique et philosophique avec la création cinématographique. Ce colloque est porté par la section arts de l’École normale supérieure Lyon en collaboration avec la section philosophie. _ Auteur(s) : DE GAUDEMAR Martine _ Réalisateur(s) : Ensmédi@ / ENS de Lyon, 7 mai 2010 _ Qu’est-ce que le cinéma ? Cours interactif en visio-conférence enregistré le 29/11/2012 _ avec Philippe FONTAINE, Professeur de philosophie à l’Université de Rouen

 Cinémathèque française
Clint Eastwood :
Spielberg / Eastwood : chroniques du chaos et de l’au-delà
Le grand réparateur
 

Cinéma de poésie et politique du cinéma. Pasolini face à Godard

 LE CINÉMA COMME ART
Le cinéma comme art par Claude Makovski Abel Gance disait : " Il y a le cinéma et l’art du cinéma ". Il savait de quoi il parlait, lui qui nous a laissé quelques chef-d’oeuvres incontestés du 7ème art : La Roue, J’Accuse ou le prodigieux Napoléon. Après une description introductive à la praxis cinématographique, puis une seconde partie consacrée aux aléas qui jalonnent la jeune histoire du cinéma (105 ans, bientôt 106 : quatre générations d’imaginaires renouvelés), la troisième partie de l’exposé sera dévolue au récit de quelques exemples choisis qui montreront en outre la fragilité de la pérennité des oeuvres cinématographiques, dont l’avenir dépendra de nouvelles vigilances de conservation et d’une prise de conscience non exclusivement sectaire ni marchande du patrimoine filmé, source inépuisable de culture et de création. Enfin, les nouvelles technologies permettront-elles à la fois de desserrer l’étau parfois oppressant des " décideurs " (ceux, qui, tenant les cordons de l’industrie, commandent aux créateurs) et d’apporter des techniques inédites de protection et de prolongement vital des films dont l’existence affirme la présence de l’Art du Cinéma ?

Théâtre

Le théâtre comme foyer révolutionnaire. Entretien avec Nicolas Bouchaud
Entretien avec Nicolas Bouchaud, comédien, à l’occasion du spectacle La Loi du marcheur.
Propos recueillis par Pauline Peretz & Marieke Louis (La Vie des idées / http://www.laviedesidees.fr).
Réalisation : David Bornstein.

Le paysage

Cours sur LE PAYSAGE donné en visioconférence le 05 février 2015
par Evelyne OLÉON, Professeur de philosophie au Lycée Chateaubriand de Rome
documents

Première partie
Deuxième partie

 Du paysage représenté au paysage réel
lundi 13 mars 2017
par Justine Balibar (Université Rennes I)

La musique

 Plusieurs extraits de Jankélévitch

 Problèmes de sémantique musicale parFrancis Wolff (ENS) 11 février 2011. Audio ENS

 Un cours d’Eric Dufour sur Nietzsche et la musique

Les séminaires " Mathématiques, musique et philosophie " Journée Wittgenstein et la musique 2013 :

 François Nicolas : Théoriser (musicalement) la musique à l’ombre (antiphilosophique) de Wittgenstein ? - Vidéo sur le site Innovaxiom
 Moreno Andreatta : Sur l’influence de Wittgenstein au sein de la Music Theory américaine Vidéo sur le site Innovaxiom
 Horacio Vaggione : L’opératoire : dualité et contenu formel en composition musicale - Vidéo sur le site Innovaxiom
 Antonia Soulez : De la fonction anti-analytique de la musique chez Wittgenstein à l’objectivation des qualia : quelle philosophie devant les recherches sur la structure interne du son ? - Vidéo sur le site Innovaxiom
 Hourya Sinaceur : Philosophie sans système - Vidéo sur le site Innovaxiom
 Vidéo/audio : Écoutez Parsifal ! — François Nicolas (IRCAM)
2006
 Conférence donnée par Francis Wolff dans le cadre des Lundis de la philosophie :
Entendre une musique comme une musique, c’est forcément la comprendre.
Non pas la comprendre conceptuellement (savoir l’expliquer ou la commenter), mais la comprendre perceptivement, c’est-à-dire tout simplement savoir l’entendre. Cela peut se dire en trois sens. Selon la compréhension sémantique, on comprend une musique comme on comprend un discours dont on connaît la langue. La compréhension intellective consiste à saisir un élément comment appartenant à une totalité plus large. Mais c’est un troisième sens qui nous retiendra : la compréhension « herméneutique » d’une musique. Car la musique est dynamique, elle se déroule dans le temps ; elle est mouvement, elle est processus. Comprendre ce processus, c’est comprendre à chaque instant pourquoi ce qui arrive arrive. Car il n’y a musique que lorsque les sons entendus ne semblent plus déterminés par leur cause réelle (la chose qui les produit) mais par une causalité imaginaire.
Comprendre une musique, c’est tout simplement entendre — rien de plus, rien de moins — cette causalité imaginaire. Cette causalité est de quatre sortes, comme toute réponse à la question « pourquoi » : la cause matérielle (le substrat sous-jacent à tout passage musical, par exemple le son-maître), la cause formelle (obéissant aux principes de
proximité et de similarité) ; la cause efficiente (loi de la répétition d’une forme qui la met en mouvement, sur un modèle physique ; loi de la bonne continuation, sur un modèle biologique) et la cause finale (attentes et tensions rythmiques, mélodiques, ou harmoniques).
Ces diverses causalités seront illustrées par quelques passages musicaux. Leur saisie est au fondement de toute émotion musicale.

 10 minutes avec Francis Wolff
Francis Wolff 14/04/2015
Entretien avec le philosohe Francis Wolff à l’occasion de la sortie de son livre « Pourquoi la musique ? » en 2015, aux éditions fayard.

 La catégorie esthétique de musique populaire
lundi 27 février 2017
Agnès Gayraud Centre V. Basch - Paris Sorbonne Docteur en philosophie