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Philosophie Académie de Créteil
Slogan du site
Aspects du réalisme
vendredi
11
juin
2021
10h30 - 12h30
horaire Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Centre Sorbonne

UFR de philosophie 17, rue de la Sorbonne, Paris 5e

Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
UMR 8103 ISJPS
PhiCo-EXeCO
LIA CRNR
Séminaire de recherche 2020-2021 organisé par Jocelyn Benoist (Paris 1, ISJPS, PhiCo-EXeCO)

Pour certains réalistes, le réalisme consiste à rappeler que le monde existe ; pour d’autres, aujourd’hui, à le nier farouchement. Au-delà de ces divergences spectaculaires, qui nourrissent le débat contemporain, le sens qu’il y a à se référer au réel en philosophie réclame à être élucidé. Trop souvent, la question se voit réduite à sa dimension épistémique. Or, si la notion de connaissance demeure évidemment centrale là où est mise en question notre capacité à accorder un sens au réel, il n’est pas sûr que ce dernier puisse se voir défini exclusivement en référence à elle. L’idée de réel paraît indissociable d’un certain nombre d’épreuves et de pratiques : de ce qu’on fait, ou essaie de faire, de ce réel et des différentes façons qu’on a d’en assumer la charge ou, au contraire, de se le dissimuler. Le séminaire explorera ces différentes dimensions d’expérience et d’élaboration du réel.
PROGRAMME
Samedi 24 octobre (en visioconférence) Markus Gabriel (Université de Bonn) : Sur l’essence et l’existence des prétendus « objets fictifs »
Samedi 28 novembre (en visioconférence) Frédéric Pouillaude (Université Aix-Marseille, LESA) : « M. et Mme Térieur ont deux fils ». A propos des œuvres documentaires et de Représentations factuelles.
Samedi 12 décembre (en visioconférence) Maurizio Ferraris (Université de Turin) : Hystérèse
Samedi 16 janvier (Sorbonne, Salle Lalande) Carole Maigné (Université de Lausanne) : Modernisme, opticalité et planéité : la leçon de Greenberg
Samedi 13 février (Sorbonne, Salle Lalande) Pierre-Henri Castel (CNRS-EHESS, LIER) : Imago agens, affect, mémoire, et critique de la figuration-représentation. Quelques remarques à partir de la notion de « chimère » chez Carlo Severi
Samedi 13 mars (Sorbonne, Salle Lalande) Pierre Steiner (UTC) : Toucher sans viser. Technique, pensée et intentionnalité
Samedi 10 avril (Sorbonne, Salle Lalande) Patricia Limido (Paris 7) Roman Ingarden, réalisme et esthétique
Samedi 22 mai (Salle indiquée ultérieurement) Jocelyn Benoist (Paris 1, ISJSPS PhiCo-EXeCO) Dimensions du réel
Vendredi 11 et Samedi 12 juin Colloque autour de Documentalité de Maurizio Ferraris

Du documental au documédial : un réalisme pour le 21 ème siècle Autour du travail de Maurizio Ferraris
vendredi
11
juin
2021

Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
UMR 8103 ISJPS
PhiCo-EXeCO
IRP CRNR
IUF
Lien d’inscription (OBLIGATOIRE) :
https://evento.univ-paris1.fr/survey/colloque-international-du-documental-au-documedial-032snc7z

En présence et en discussion avec Maurizio Ferraris
Depuis plus de 20 ans, Maurizio Ferraris développe une œuvre absolument originale qui a contribué à définir la figure d’un « Nouveau Réalisme » au tournant du XXIe siècle. Au moment même où sort en Italie sa nouvelle somme Documanità. Filosofia del Mondo Nuovo (Laterza, 2021), est parue la traduction en français par Sabine Plaud du livre majeur où il exposait en 2009 les fondements de son ontologie sociale, selon laquelle être, c’est être documenté : Documentalité (Ed. du Cerf, 2021). Depuis cette œuvre fondatrice, Maurizio Ferraris a poursuivi et radicalisé sa réflexion sur le statut déterminant de l’enregistrement en tant que producteur de réalité sociale (et, sans doute, de réalité en général). Selon cette grille d’analyse, il interprète internet comme un gigantesque dispositif d’enregistrement et la société numérique comme un système de « mobilisation totale » dans ce dispositif. Ainsi son enquête ontologique l’a conduit du documental au documédial.
Ce colloque sera l’occasion de discuter, avec l’auteur, de la nature de son réalisme, de l’ontologie sociale qui y joue un rôle central, même si non exclusif, de sa compréhension du sens et des usages du « document », ainsi que de sa vision de la société numérique en tant que fait social total de notre temps

Vendredi 11 juin 2021

  • 9h : Sabine Plaud (Barcelone, Siris Academic)
    Le style c’est l’homme : Maurizio Ferraris vu à travers l’expérience de la traduction
  • 10h : Jens Rometsch (Université de Bonn)
    À propos de la documentalité du mental
  • 11h : Isabelle Pariente (Université Aix-Marseille)
    Objection à deux objections possibles au réalisme de Maurizio Ferraris
  • 14h : Pauline Nadrigny (Paris 1)
    Sur l’enregistrement
  • 15h : Pierre Steiner (UTC)
    Engrammes et exogrammes. Situer l’esprit dans un monde de traces
  • 16h : Pierre-Yves Quiviger (Paris 1)
    Documentalité juridique : corpus, IA, rationalité jurisprudentielle

Samedi 12 juin

  • 9h Jim Gabaret (Paris 1)
    Pour dire le monde, laisser le monde se dire ? Le réalisme ontologique de Maurizio Ferraris
  • 10h Frédéric Pouillaude (Université Aix-Marseille)
    Documentalité sociale et art documentaire
  • 11h Emmanuel Picavet (Paris 1)
    Documentation, interprétation et conversation à travers le temps.
  • 14h Cyril Crignon (ESA Nord-Pas-de-Calais Dunkerque-Tourcoing)
    Des choses qui feignent d’être des personnes/des personnes qui ne sont plus si sûres d’en être : la quasi-subjectivité contagieuse des œuvres numériques de Fabien Zocco
  • 15h Petar Bojanic (Université de Belgrade)
    Le statut des actes documentaires dans Documentalité et Documanità
  • 16h Célia Zolynski (Paris 1)
    Economie de l’attention : quelle place (re)donner à l’utilisateur des services numériques ?
Colloque Responsabilité et injustices structurelles globales : regards croisés sur la pauvreté, le changement climatique et les migrations
vendredi
11
juin
2021
horaire Le colloque se tiendra à distance, sur « Zoom ». Inscriptions :

https://evento.univ-paris1.fr/survey/responsibility-for-g...-37y8lipp

Colloque « Responsabilité et injustices structurelles globales : regards croisés sur la pauvreté, le changement climatique et les migrations »
Responsabilité et injustices structurelles globales : regards croisés sur la pauvreté, le changement climatique et les migrations
Programme

10 Juin
14h00 -14h10 (heure de Paris) Accueil et Introduction
14h10- 16h10 Injustices structurelles globales, migrations et respon

  • Christine Straehle (Hamburg)
    Migration, Climate Change, and Voluntariness : On the Specific Harm that Persists Even in Cases of Relocation
  • François Boucher (KU Leuven)
    Structural Injustice, Collective Responsibility and the Allocation of Duties to Protect Refugees
  • Juliette Monvoisin (Paris 1 Panthéon Sorbonne)
    Michael Walzer, States’ Obligations to Admit Refugees as a Form of Compensation, and Global Structural Injustices
    Pause
    16h40- 18h00 Pauvreté, exclusion sociale et responsabilité pour les injustices structurelles
  • Isabelle Aubert (Paris 1 Panthéon Sorbonne)
    Exclusion sociale et responsabilité. Réflexions à partir d’Iris Young.
  • Pedro Lippmann (Paris 1 Panthéon Sorbonne)
    Taking Up Responsibility Against Poverty : Political Responsibilities and Participatory Policies in Poverty Reduction

11 Juin
14h00-16h00 Injustice structurelle et responsabilité : fondements conceptuels

  • Simon Caney (Warwick)
    Self-Emancipation and Structural Injustice
  • Maeve McKeown (Cambridge)
    A New Typology of Structural Injustice
  • Marie Garrau (Paris 1 Panthéon Sorbonne)
    Reconnaître nos responsabilités
    Pause
    16h30-18h00 Injustices structurelles globales et responsabilités environnementales
  • Catherine Larrère (Paris 1 Panthéon Sorbonne)
    Que signifie « global » dans la responsabilité globale de la crise environnementale ?
  • Corentin Lelong (Lyon 3/U. de Montréal)
    Climate Change, Territorial Losses, and Responsibility

Comité d’organisation
Juliette Monvoisin, doctorante de philosophie à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Pedro Lippmann, doctorant de philosophie à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Corentin Lelong, doctorant de philosophie à l’Université Lyon 3 – Jean Moulin, Université de Montréal
François Boucher, post-doctorant à l’Université Catholique de Louvain

Questions : conference.responsibility2021@gmail.com

Argumentaire scientifique
Dans ces dernières décennies, la philosophie normative s’est efforcée de penser les obligations morales des individus au-delà de leurs appartenances nationales particulières. Or, au contact de problèmes globaux de plus en plus prégnants et complexes, les théoriciens ont été appelés à une reconceptualisation de la responsabilité. Face à un système économique global à l’interdépendance croissante, marqué par des inégalités grandissantes au sein des pays et entre eux ; au manque de coopération dans la lutte contre le réchauffement climatique ; et à l’intensification de flux migratoires internationaux due à des raisons environnementales et économiques entraînant une augmentation du nombre de réfugiés, les théories traditionnelles de la responsabilité (liability models of responsibility) se sont révélées insuffisantes, voire inopérantes.

Sur la scène internationale, la question de l’identification des responsables est d’emblée pensée selon le paradigme d’une société internationale étatiste, qui masque l’implication d’une pluralité d’agents. Les États sont certes ordinairement envisagés comme les agents primaires de justice ; il n’en reste pas moins que l’action des États peut s’avérer limitée, défaillante et même nuisible. Dans de telles situations, quels sont les autres agents qui pourraient être impliqués et comment doivent-ils prendre acte de responsabilités qui seraient autrement attribuées aux États ? Sont-ils censés prendre le relais ? Comment assigner des responsabilités à des agents différents qui restent en-deçà et au-delà de l’État ? La responsabilité se diffuse-t-elle parmi des agents infra-étatiques et/ou se concentre-t-elle sur des agents supra-étatiques ?

Grâce au travail séminal d’Iris Marion Young, l’idée d’injustice structurelle a reçu une attention grandissante des théoriciens lors de ces dernières années. Dans Responsibility for Justice, Young avance que les injustices structurelles résultent d’actions d’agents qui respectent néanmoins les règles institutionnelles et les pratiques communément admises. En présence d’injustices structurelles, il n’est pas possible d’établir un lien de causalité entre un acteur précis et un tort commis. Dans ces cas, les actions de chaque individu prises isolément ne contribuent pas directement aux injustices que d’autres subissent, mais y concourent plutôt de façon indirecte, collective ou cumulative, en produisant des contraintes structurelles pour certains, et des opportunités privilégiées pour d’autres.

Ce colloque propose donc de penser l’application de l’approche structurelle des injustices à la sphère transnationale dans trois domaines d’action politique : la pauvreté, l’environnement et les migrations. Il s’agira, d’une part, de tenter de comprendre la nature des responsabilités transnationales dans ces trois champs ; d’autre part, de se demander si elles peuvent entrer en dialogue, ou si elles sont vouées à demeurer irrémédiablement conflictuelles.

1. Pauvreté
Dans quelle mesure est-il légitime de conceptualiser la pauvreté globale en termes structurels ? Devrait-on suivre la définition proposée par Iris Young ou y a-t-il des manières plus fécondes de conceptualiser l’injustice structurelle ? Comment une telle conceptualisation se différencie-t-elle des approches institutionnelles ? Quel critère de justice socio-économique est présupposé lorsqu’on parle d’injustice structurelle, et comment s’applique-t-il à l’échelle globale ?

Qui plus est, qu’en est-il de l’articulation entre injustice structurelle et responsabilité ? En quoi le concept d’injustice structurelle peut-il nous aider à éclairer les enjeux normatifs dans l’attribution des responsabilités liées à la lutte contre la pauvreté ? Faut-il concevoir la lutte contre de telles injustices structurelles comme une tâche qui est du ressort de l’action collective ? Dans quelle mesure cette affirmation est-elle pertinente lorsque ces injustices ont lieu à l’échelle globale ?

2. Changement climatique
Les dimensions intergénérationnelles et internationales de la responsabilité en matière climatique viennent brouiller l’identification des agents et l’attribution des obligations de remédiation. Comment alors penser la responsabilité de la multiplicité d’agents à mobiliser dans la lutte face au changement climatique ? En dépit d’une littérature florissante, la justice climatique demeure fortement marquée par une compréhension de la responsabilité en termes d’imputabilité (principe du pollueur-payeur). Rares sont encore les théoricien.ne.s qui ont tenté d’appliquer le modèle de la connexion sociale développé par Iris Marion Young à nos actions dans le contexte d’un changement climatique global. Pourtant, les dommages climatiques semblent à première vue relever de ces injustices produites collectivement par le biais de pratiques sociales récurrentes considérées comme « normales », contrairement aux injustices individuelles, où les dommages peuvent être attribués aux actes volontaires ou aux négligences de « coupables » identifiables. Dès lors, quelles perspectives s’ouvrent aux théoricien.ne.s, à partir du moment où ils/elles préfèrent la responsabilité politique à la responsabilité morale et qu’ils/elles se détachent du modèle d’imputabilité (liability model) pour embrasser le modèle de la connexion sociale ? Quels sont les bénéfices conceptuels et pratiques de cette orientation ? Cette approche demeure-t-elle pertinente si certains acteurs sont clairement identifiés (émetteurs historiques, compagnies pétrolières, etc.), et que les outils scientifiques permettent de mieux cerner l’étendue de leurs contributions ? Que gagne-t-on à sacrifier la responsabilité rétrospective (backward-looking) sur l’autel de la responsabilité prospective (forward-looking) ? Enfin, Young ne fait-elle pas peser un poids excessif sur les épaules des individus ? Le colloque sera l’occasion d’examiner ce qui est gagné ou perdu dès lors que les maux causés par le changement climatique sont regardés au prisme des injustices structurelles.

3. Justice et migrations
Lorsqu’il s’agit de penser la justice internationale dans le contexte migratoire, la philosophie normative doit éviter de sombrer dans deux pièges. D’un côté, le cosmopolitisme légal, qui cherche à atteindre un ordre global où tout le monde serait citoyen d’une république universelle, mais où les obligations de justice dépendent précisément de l’existence d’institutions globales (sans ordre légal universel, une pensée des responsabilités serait impossible). De l’autre, celui de l’abstraction des droits humains, qui impose des limites à la conduite en exigeant le respect de chacun comme unité d’intérêt moral, mais ne parvient pas à déterminer quels sont les acteurs politiques spécifiquement responsables de tels ou tels individus et groupes. En effet, trop d’approches pèchent par abstraction en laissant le contenu et les conditions d’effectivité des droits humains (droit d’asile, etc.) indéterminés ; aussi s’agira-t-il à l’inverse de s’interroger sur ce qui relie chaque détenteur présumé de droits à une ou plusieurs obligations spécifiques – c’est-à-dire sur ce qui établit la responsabilité des agents, institutionnels ou non, à l’égard de certains individus ou groupes non-membres. Quel État doit accorder une protection juridique à une personne réfugiée qui provient d’un États brimant ses droits humains ou qui n’a pas la capacité de les faire respecter : un État voisin, de proximité, celui du choix du réfugié, l’État ayant la plus grande capacité d’intégration ou encore un État en partie causalement responsable de la situation dans le pays de provenance du réfugié ? Quelle est la nature des obligations des États démocratiques face au nombre croissant de réfugiés : admettre des personnes réfugiées sur leur territoire et les intégrer ? Subventionner les agences internationales administrant des campements de réfugiés situés à proximité des zones de conflit ? Compenser financièrement les pays qui admettent un grand nombre de réfugiés ? Qui, hors des frontières de l’État-nation, est responsable des droits de qui (qui sont les “right holders” ?), et quel socle normatif fonde la particularisation des responsabilités dans un contexte migratoire où, par définition, le pays d’origine des individus en manque de protection n’est pas en mesure de protéger leurs droits ? Autrement dit, comment particulariser des responsabilités dont nous sommes moralement tous porteurs au même titre, en tant qu’êtres humains ?

Critique des ontologies sociales
vendredi
11
juin
2021
14h30 - 16h30
horaire Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Séminaire de recherche 2020-2021 coordonné par Jocelyn Benoist et Ronan de Calan (Paris 1, ISJPS, PhiCo-EXeCO)
Critique des ontologies sociales : Le réel comme ce qui doit être interprété et le réel comme ce qui doit être changé
A la fin du XXe siècle, un certain nombre d’« ontologies sociales » se sont fait fort d’établir que le social, dans son genre, était réel. La supposée rigueur analytique des moyens déployés ne doit pas masquer l’énormité de la question. Le point de vue réaliste consisterait, en fait, probablement plutôt à s’interroger sur les conditions réelles qui peuvent expliquer qu’une telle question ait pu être posée, et entendue comme sensée. Cette question, en tant que symptôme, ne doit bien sûr pas en cacher une autre : celle du sens du concept de « réel », en tant qu’ancré lui-même dans la réalité sociale, et de la difficulté qu’il y a vivre, expérimenter, subir et prendre en charge l’intrinsèque mais en elle-même problématique socialité de la réalité
En raison des mesures de sécurité en vigueur, toute personne ne possédant ni carte professionnelle, ni carte d’étudiant d’une institution ancrée en Sorbonne doit s’inscrire plusieurs jours à l’avance à l’adresse : <Philo-Recherche@univ-paris1.fr
Samedi 12 décembre : Guillaume Lambey (Paris 1, PhiCo EXeCO) : Le Capital de Marx, ou la folie des grandeurs
Samedi 16 janvier : Céline Bessière (Université Paris-Dauphine, IRISSO) et Sibylle Gollac (CNRS, CRESPPA) : Le genre du capital
Samedi 13 février : Ronan de Calan (Paris 1, ISJPS PhiCo EXeCO) : Remarques sur la socialité du principe de
Samedi 13 mars : Camille Chamois (Paris 10) : La division du travail perceptif : autour de quelques problèmes d’anthropologie sociale
Samedi 10 avril : Lotte Buch Segal (Edimbourg) : The Responsibility of a Concept. The Problem of Attention and Analysis in two, at least, Different Approaches to Reality.
Samedi 22 mai : Etienne Balibar (Paris 10) : Point de vue du travail, point de vue du capital : comment reprendre la critique de l’économie politique ?
Vendredi 11 et Samedi 12 juin : Colloque autour de Documentalité de Maurizio Ferraris