GRANDS MOMENTS D’ÉLOQUENCE PARLEMENTAIRE
Révolution française
Révolution française
- Sieyès, Mirabeau et Bergasse (15-17 juin 1789)
- Le roi et le comte de Mirabeau (23 juin 1789)
- Barnave et Mirabeau (16 juillet 1789)
- Le comte de Castellane, Barnave et Malouet (1er août 1789)
- Target, Noailles et Aiguillon (nuit du 4 août 1789)
- Rabaut Saint-Etienne, Robespierre et de Machault (24 août 1789)
- Robespierre (25 janvier 1790)
- Mirabeau (11 juin 1790)
- Mirabeau (21 octobre 1790)
- Barnave (15 juillet 1791)
- Robespierre (11 août 1791)
- Condorcet (20 et 21 avril 1792)
- Danton (2 septembre 1792)
- Robespierre (10 mai 1793)
- Saint-Just (1er octobre 1793)
- Dufay et Danton (4 février 1794)
- L’abbé Grégoire (4 juin 1794)
- Robespierre (26 juillet 1794)
- Boissy d’Anglas (21 février 1795)
Le Consulat, l’Empire et la monarchie constitutionnelle (1799-1848)
- Présentation
- Le Consulat et l’Empire (1800-1815)
- L’échec de la monarchie constitutionnelle (1814-1848)
- Bilan législatif
- Bilan institutionnel
Moments d’éloquence
- Alexis de Tocqueville (27 janvier 1848)
- Dominique Arago (16 mai 1840)
- Odilon Barrot (7 mars 1831)
- François Guizot (29 décembre 1830)
- François-René de Chateaubriand (25 février 1823)
Après cinquante ans de régime autoritaire, la monarchie constitutionnelle s’écroule au printemps 1848. Les grands principes de la Révolution française - Liberté, Égalité, Fraternité - enflamment l’Europe entière. Pendant trois ans, la Deuxième République permet le rétablissement de la démocratie en France. Mais les adversaires de la République ne tardent pas à prendre le pas sur ses partisans, eux-mêmes divisés. L’essai d’un régime présidentiel, démuni de contrepoids et de solutions d’arbitrages, et l’élection à la présidence de la République de l’héritier des Bonaparte aboutissent au coup d’État du 2 décembre 1851.
Contenus annexes
Moments d’éloquence
- Victor Hugo (21 mai 1850)
- Victor Hugo (9 juillet 1849)
- Victor Hugo (11 septembre 1848)
- Alphonse de Lamartine (7 septembre 1848)
- Louis Blanc (10 mai 1848)
Révolution de 1848 et Deuxième République
- Hippolyte Detours : L’inviolabilité du suffrage universel
- Louis Blanc : La création d’un ministère du progrès et du travail
- Paul Rabuan : L’abolition complète de la peine de mort
- Alphonse de Lamartine : Le droit au travail
- Alphonse de Lamartine : L’élection du Président de la République au suffrage universel
- Victor Hugo : La liberté de la presse
- Victor Hugo : L’abolition de la peine de mort
- Agricol Perdiguier : Le maintien de la limitation des horaires de travail
- Pierre-Joseph Proudhon : « Ou la propriété emportera la République, ou la République emportera la propriété »
- Pierre Leroux : Limiter la durée journalière de travail
- Ledru-Rollin : Le droit au travail
- Victor Hugo (1849) : « Détruire la misère »
- Victor Hugo (1850) : Le suffrage universel
Jean Jaurès à la tribune
René Rousseau-Decelle, début du XXe siècle
© Assemblée nationale
Troisième République
- Léon Gambetta (1870) : Contre le plébiscite
- Victor Hugo (1871) : Contre l’invalidation de Garibaldi
- Léon Gambetta (1880) : « Il n’y a qu’une France et qu’une République »
- Paul Bert (1880) : Le principe de laïcité appliqué à l’enseignement primaire obligatoire
- Albert de Mun (1884) : La nécessité de la loi sociale
- Jules Ferry (1885) : Les fondements de la politique coloniale
- Georges Clemenceau (1885) : La colonisation est-elle un devoir de civilisation ?
- Jules Ferry (1889) : L’école laïque
- Georges Clemenceau (1891) : « La Révolution est un bloc »
- Georges Clemenceau (1891) : « Il y a quelque part, sur le pavé de Fourmies, une tache de sang innocent qu’il faut laver à tout prix ! »
- Jean Jaurès (1893) : L’émancipation sociale des travailleurs
- Jean Jaurès (1905) : « C’est dans le prolétariat que le verbe de la France se fait chair »
- Aristide Briand (1905) : Présentation du projet de séparation des Églises et de l’État
- René Viviani (1906) : La création d’un ministère du travail
- Francis de Pressensé (1906) : Réintégration du capitaine Dreyfus et du colonel Picquart
- Marcel Sembat (1912) : « La liberté d’être cubiste »
- Jean Jaurès (1913) : Contre la loi des trois ans
- Georges Clemenceau (1918) : « Je fais la guerre »
- Édouard Herriot (1924) : Le programme du Gouvernement républicain
- Léon Blum (1936) : « Nous sommes un Gouvernement de Front populaire »
Assemblée consultative provisoire
Première Assemblée constituante
- Général de Gaulle (1945) : Présentation du Gouvernement d’unité nationale
- Général de Gaulle (1945) : Déclarations à l’Assemblée constituante (débat sur les crédits de la défense nationale)
Quatrième République
- René Capitant (1947) : Il faut retourner à l’électeur et le consulter avec une loi électorale nouvelle, comportant un scrutin majoritaire
- Pierre Mendès France (1951) : « Pour une solution négociée en Indochine »
- Pierre-Henri Teitgen (1952) : Réponses aux attaques de Charles Maurras contre la Résistance
- Pierre Mendès France (1953) : « Gouverner c’est choisir »
- Pierre Mendès France (1954) : Cessation des hostilités en Indochine
- Léopold Sédar Senghor (1957) : « Je vous dis que la France est un arbre vivant »
- Maurice Faure (1957) : Ratification des traités de Rome
- Général de Gaulle (1958) : Discours d’investiture
- François Mitterrand (1958) : Réponse au discours d’investiture du général de Gaulle
Cinquième République
- Michel Debré (1959) : Les principes des nouvelles institutions
- Michel Debré (1959) : L’aide à l’enseignement privé
- Paul Reynaud, Georges Pompidou (1962) : Débat de censure
- André Malraux (1966) : Présentation du budget de la culture à l’Assemblée nationale
- André Malraux (1966) : La création des Paravents de Jean Genet à l’Odéon - Théâtre de France
- Jacques Chaban-Delmas (1969) : « La nouvelle société »
- Robert Badinter (1981) : « L’abolition de la peine de mort »
- Jack Lang (1981) : « Un ministère de la culture, pour quoi faire ? »
- Philippe Séguin (1992) : « Oui, nous voulons l’Europe, mais debout »