Ressources
La nature
– La dénaturation de l’enfance
Analyse filmique d’un extrait de Jeux interdits de René Clément
– La Traversée
17/11/2014 un scénario de Thibaut Wohlfahrt et Marie Brauener / Offshore
Luca guide son père Marc en canoë sur la rivière où Arthur a disparu trois semaines plus tôt. C’est dans cette nature angoissante et inconnue que père et fils s’enfoncent, avec l’espoir de trouver une trace, un signe, quelque chose pour expliquer l’absence...
télécharger le document (525 Ko)– Man of Iran 1934
Sur une île battue par les flots et les vents, une famille de pêcheurs a planté sa cahute. Jour après jour, ils extirpent d’une mer houleuse, hostile et souvent dangereuse leur maigre subsistance et tentent de faire de cette terre rêche et aride un champ cultivé, utilisant les algues comme engrais. Face à une nature qui se déchaîne librement, ils luttent pied à pied afin de survivre là où ils se sont installés, au coeur des mers. L’homme s’en va chasser le poisson à bord de sa barque. Parfois, il course le requin pèlerin et la traque ne va pas sans dégâts ni sans peurs. Cette fois-là, l’homme est intact mais le bateau fracassé...
– Grizzly Man de Werner Herzog
2005 Fiche élève- Lycéens et apprentis au cinéma
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cinéma | lycéens et apprentis au cinéma– Et au milieu coule une rivière de Robert Redford -
Transmettre le cinéma Coproduit par le LUX (Scène nationale de Valence) et le Centre national de la Cinématographie, le site "Transmettre le cinéma" est un outil au service de la pédagogie du cinéma. Il propose ici une fiche très complète sur le film "Et au milieu coule une rivière" de Robert Redford rassemblant...– François Truffaut Transmettre le cinéma > Films > 1970 >Enfant sauvage (L’)
France (1970)– John Boorman La Forêt d’émeraude
Transmettre le cinéma Coproduit par le LUX (Scène nationale de Valence) et le Centre national de la Cinématographie, le site "Transmettre le cinéma" est un outil au service de la pédagogie du cinéma. Il propose ici une fiche très complèt e sur le film "La Forêt d’émeraude " de John Boorman rassemblant synopsis,...– L’animal, le film et le végétarien : parcours secret du végétarisme au cinéma
par Camille Brunel (professeur et critique)
Héros ou marginaux, pacifiques ou offensifs, les végétariens apparaissent quand démange le rapport à l’animal et, par métaphore, à l’opprimé. Du côté des personnages, des réalisateurs, des acteurs, le végétarisme apparaît ainsi comme le grain de sable dans la grande machine à manger humaine.– Nature et culture culinaire du cinéma
par Émilie Notéris (auteure)
Si pour Claude Lévi-Strauss « La gastronomie établit une ‘bonne distance’ entre le cru et le cuit », la jouissance cinématographique établit plutôt la "bonne proximité" entre le goût et le toucher. Au bord de l’orgasme ou de l’écœurement nous vous proposons entrée, plat, et dessert. Au programme : des œufs, des huitres, du homard et du sucre…– Peindre la peau : enluminures, fards, maquillages, make up
par Dominique Paquet, docteure en philosophie
Il sera question des pratiques de mise en beauté du visage du Moyen-Âge à nos jours, étayées par des regards sur les techniques, la symbolique et l’histoire de la mode. Une conférence ponctuée d’extraits de films.
juillet 2016– Le sel de la terre
Un film de : Wim Wenders et Juliano Ribeiro Salgado
Scénario : Juliano Ribeiro Salgado, Wim Wenders et David Rosier
Directeurs de la photographie : Hugo Barbier et Juliano Ribeiro Salgado
Montage : Maxine Goedicke et Rob Myers
Musique : Laurent Petitgand
Année : 2014
Date de sortie au cinéma : 15 octobre 2014
Durée : 109 mnDossier pédagogique du site Zerodeconduite.net
Dossier de presse, dossier pédagogique et vidéos sur le site du distributeur
– Le retour de la nature : la forêt dans "Sombre" et "Un lac" de Philippe Grandrieux
dans le cadre du cycle "Mille et une forêts"
Charlotte Mariel prépare une thèse de doctorat en cinéma, sous la direction de Nicole Brenez, sur l’appréhension de la nature où s’entrelacent science, cinéma et poésie. Elle écrit parallèlement un mémoire de philosophie sur H.D. Thoreau et J. Mekas.
Existe-t-il une manière naturelle d’être au monde ? Pouvons-nous, au cinéma, faire l’expérience, non d’un retour à la nature, mais de la nature ? Munis de telles questions, nous pourrions approcher du traitement de la forêt dans Sombre et Un lac. Philippe Grandrieux y révèle, avec force et humilité, ce qu’a à voir le cinéma avec la poésie, le conte et la vie. Charlotte MarielDocteur en arts et sciences de l’art, maître de conférences en cinéma et chercheur en cyberculture, Valérie Morignat travaille actuellement sur les interactions numériques avancées dans les domaines de la réalité augmentée et du jeu vidéo.
Hanté par la nostalgie d’un Éden disparu et la figure du sauveur artificiel, Avatar cristallise les contradictions du monde contemporain. Promesse de retour à une nature terrestre détruite par l’humanité, la planète Pandora est façonnée par les signes du paradis perdu et le culte d’un monde artificiel où la technologie devient promesse de résurrection. (Valérie Morignat)– Truffaut : éducation vs rééducation
par Arnaud Guigue, enseignant
Qu’est-ce que l’éducation vue/filmée par un autodidacte qui a toujours regretté d’avoir quitté l’école à l’âge de 14 ans, et qui jamais ne s’est enorgueilli d’avoir réussi seul ? Comment faire l’apologie du savoir et de l’école à une époque (fin des années 1960, début des années 70) où celui-là est considéré comme une source d’aliénation et celle-ci comme une prison ?
Aujourd’hui proviseur, Arnaud Guigue a enseigné l’esthétique du cinéma à l’université Paris 3 jusqu’en 2013. Codirecteur du « Dictionnaire Truffaut » (éd. La Martinière, 2004), il est aussi l’auteur de « Truffaut & Godard, la querelle des images » (CNRS, 2014).
– Microcosmos
Microcosmos, Claude NURIDSANY et Marie PERENNOU, 1995
le principal risque, lorsqu’on étudie un tel film, est de se faire piéger par l’illusion du réel, de croire qu’une scène de Microcosmos, parce qu’il est un « documentaire animalier » est forcément prise sur le vif, directement prélevée du milieu naturel. La grande force du premier film de ces deux scientifiques est d’avoir su utiliser les moyens de la fiction, sans craindre on le constate ici de se frotter aux canons du genre, en les mettant au service d’êtres anodins. D’avoir, à chaque fois, et par le biais d’une mise en scène sophistiquée, su créer l’écrin qui rendraient extraordinaires les situations les plus prosaïques.
Séquences
– La Pivellina COVI Tizza, FRIMMEL Rainer
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Analyses de séquence
Un visage d’enfant sur une affiche, quoi de plus habituel ? Pourtant, l’affiche de “La Pivellina” n’a rien de naturel. Le créateur de l’affiche fait subir à un authentique photogramme du film un traitement surprenant : dédoublement, décadrage, recadrage, coupe inappropriées du visage, etc. En quoi ce travail nous introduit-il à ce film et à son mystère ?…
Cette vidéo peut être vue en relation avec la page 1 (« L’Affiche ») du dossier “La Pivellina”.—
Analyse : Joël MAGNY
Réalisation : Jean-Paul DUPUIS– Rohmer
Conte d’été de Rohmer Analyse de séquences
Présentation de Rohmer sur ce lien du ciné club de CaenUne question lancinante et récurrente consiste à se demander si les personnages du cinéma de ROHMER sont « naturels ». Commençons par laisser le cinéaste lui-même parler du naturel :
P96 Celluloïd : Le naturel est difficile à définir. Pour parler de moi, depuis que je fais du cinéma, j’ai l’impression d’être assez naturel. On m’a reproché d’être littéraire – mais l’un n’empêche pas l’autre : par exemple, RACINE est naturel. Et je m’aperçois qu’il y a des tas de films où l’on a beau employer des tournures modernes, de l’argot et tout ce qu’on veut… eh bien, ce n’est pas naturel du tout. Le naturel est inné si je puis dire, c’est un ensemble, cela va de soi . C’est faire en sorte qu’on oublie complètement que le personnage est créé par un auteur ; c’est faire comme si c’était l’acteur qui inventait son texte.
Pour plus d’information cliquez sur ce lien– Elephant Man Analyse d’une scène
– La coupe de cheveux JIBURO DE JUNG-HYANG Lee
– Au hasard Balthazar Balthazar (l’âne "héros" du film) regarde les autres animaux et participe aux jeu du cirque. Le film semble prendre sa consistance éthique à travers le point de vue de l’animal et non de l’homme. Il questionne l’animalité chez l’homme. Robert Bresson 1966
– Into the Wild
Le mythe de la fusion avec la nature. Sean Penn
Un jeune homme a priori sans histoires décide de tout quitter pour voyager seul en Alaska et « se perdre dans la nature ». Bonheur de plonger dans les flots bleus, de survivre sous la neige, de goûter la vue du ciel, ce film revisite avec puissance et désenchantement la mythologie américaine des grands espaces– Hiver nomade MANUEL VON STÜRLER 2013 Dossier Canope
Mi-octobre, la neige est déjà là. C’est le moment pour Pascal et Carole, un couple de bergers, de partir avec leur troupeau de huit cents moutons pour la grande transhumance hivernale sur les pentes de la Suisse romande. Avec eux, pour ce long périple de six cents kilomètres, quatre chiens et trois ânes, et leur « patron » Jean-Paul, propriétaire du troupeau, qui les retrouve régulièrement pour prélever la part de ses commanditaires