
Oeuvres et contexte
Textes établis par J. Assézat et M. Tourneux, Garnier. Wikisource
Pensées philosophiques, essai (1746)- De la suffisance de la religion naturelle (1746)
- La Promenade du Sceptique ou les Allées (1747)
- Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient (1749)
- Pensées sur l’interprétation de la nature (1754)
- Diversité et étendue de l’Esprit
- Sur la Diversité de nos jugements
- Sur le Génie
- Des idées accessoires
- Sur l’évidence
- Discours d’un Philosophe à un Roi
- Lettre à mon frère (1760)
- Introduction aux grands principes, ou réception d’un philosophe
- Salons, critique d’art (1759, 1761, 1763)
- L’Antre de Platon (Salon de 1765)
- Promenade Vernet (Salon de 1767)
- L’Antre de Platon (Salon de 1765)
- Éloge de Richardson (1768)
- Lettre adressée à un magistrat sur le commerce de la librairie (1763)
- Entretien entre d’Alembert et Diderot (1769)
- Le Rêve de d’Alembert, essai (1769)
- Suite de l’entretien entre d’Alembert et Diderot (1769)
- Principes philosophiques sur la matière et le mouvement, essai (1770)
- Entretien d’un père avec ses enfants ou du danger de se mettre au-dessus des lois (1771)
- Entretien d’un philosophe avec la maréchale de *** (1771)
- Supplément au voyage de Bougainville (1772, publié en 1796)
- Regrets sur ma vieille robe de chambre ou Avis à ceux qui ont plus de goût que de fortune (1772)
- Sur les femmes (1772)
- Paradoxe sur le comédien (1773, publié en 1830)
- Principes de politique des souverains (1774)
- Réfutation d’Helvétius (1774)
- Addition aux Pensées philosophiques
Romans, contes, dialogues
- Les Bijoux indiscrets (1748)
- L’Oiseau blanc, conte bleu (1748)
- Le Neveu de Rameau, dialogue philosophique (1761, publié en 1823)
- Les Deux Amis de Bourbonne (1770)
- Ceci n’est pas un conte (1773)
- La Religieuse (1760, publié en 1796)
- Jacques le fataliste et son maître (1776, publié en 1796)
- Sur l’Inconséquence du jugement public de nos actions particulières ou Madame de la Carlière (1796)
- Qu’en pensez-vous ?, conte
- La marquise de Claye et Saint-Alban, dialogue
- Cinqmars et Derville, dialogue
- Satire première
Articles de l’Encyclopédie
Diderot a écrit plus d’un millier d’articles de l’encyclopédie ; ceux qui sont signés sont précédés d’un astérisque.
- Prospectus pour l’Encyclopédie
- Encyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers
(1750-1765)
Théâtre
- Le Fils naturel ou les Épreuves de la vertu,
comédie suivie des Entretien sur le Fils naturel (1757)
- Le Père de famille, drame (1758)
- Est-il bon ? Est-il méchant ? ou l’Officieux persifleur, comédie (1781)
Poésie
Traductions
- Essai sur le mérite et la vertu, écrit par Shaftesbury, traduction française et annotations de Diderot (1745)
- L’Apologie de Socrate (traduction entreprise en captivité à Vincennes, 1749)
Lettres
- À M. Le Breton, Imprimeur de l’Encyclopédie
- Lettres à Falconet
- Lettres à Sophie Volland
- Lettres à l’Abbé Le Monnier
- Lettres à Mademoiselle Jodin
- Correspondance générale
ANALYSES : articles - conférences
Lettre sur les aveugles
– Diderot Lettre sur les aveugles à l’usage de ceux qui voient. Texte établi par J. Assézat et M. Tourneux, Garnier, 1875-77 (I, pp. 279-342).
– Véronique Le Ru, « La Lettre sur les aveugles et le bâton de la raison », Recherches sur Diderot et sur l’Encyclopédie, numéro 28 La "Lettre sur les aveugles", [En ligne], mis en ligne le 18 juin 2006. Consulté le 05 août 2014 -
– La Lettre sur les aveugles et l’éducation des sens
29 AVRIL 2020/PAR SOPHIE AUDIDIÈRE Philopsis
Le rêve de d’Alembert
– Commentaire collectif du texte. Le rêve de D’AlembertCERPHI Ens Lyon
– Dominique Lecourt, “ Diderot, la biologie et le romantisme ”, 1ère journée scientifique du Centre d’Etudes du Vivant, Université Denis Diderot-Paris 7, amphithéâtre 24, le mercredi 25 octobre 2000.
– Annie Ibrahim, « Maupertuis dans Le Rêve de D’Alembert : l’essaim d’abeilles et le polype », Recherches sur Diderot et sur l’Encyclopédie [En ligne], 34 | avril 2003, document 7, mis en ligne le 24 février 2011, Consulté le 12
octobre 2012. URL : /index160.html ; DOI : 10.4000/rde.160
Supplément au Voyage de Bougainville
Tristan Vigliano.L’utopie otaïtienne de Diderot dans le Supplément au Voyage de Bougainville, ou la possibilité d’un monde renversé. Lucie Desjardins. Les figures du monde renversé de la Renaissance aux Lumières. Hommage à Louis Van Delft, Hermann, pp.363-388, 2013, Les collections de la République
des Lettres. halshs-00842082
Les salons
– Diderot-salons
Canal U, janvier 1973, 34mn
Exploration de la peinture au XVIIIè siècle, à la fois mémoire et illustration des "Salons de Diderot". Nous parcourons un musée imaginaire de la peinture de cette époque sous le regard du fondateur de la critique moderne.
Avec la voix de Michel Bouquet
– Gerhardt Stenger "Diderot, homme des lumières"
Gerhardt Stenger est maître de conférences en Littérature française (XVIIe et XVIIIe siècles)à l’Université de Nantes, spécialiste des Lumières
l’Université permanente de Nantes, 2013
– Diderot, l’œuvre de l’amitié Muriel Brot (CNRS/Paris IV) 17 janvier 2009
Intervention au colloque L’amitié et les sciences, de Descartes à Lévi-Strauss.
RESSOURCES EXERCICES
SUR LE SITE PANORAMA DE L’ART analyse du tableau de Van Loo
Ce portrait est-il pour autant ressemblant ? Le modèle lui-même n’en est pas convaincu, malgré l’amitié qu’il porte au peintre. Le critique Bachaumont semble, lui, reconnaître le philosophe : « [Van Loo] a peint M. Diderot avec cette tête nue et fumante sur laquelle cet auteur est obligé de jeter de l’eau froide de temps à autre pour modérer les accès d’un génie bouillant. »
De son côté, le critique Diderot décrit ainsi son propre portrait : « […] On le voit de face. Il a la tête nue. Son toupet gris avec sa mignardise lui donne l’air d’une vieille coquette qui fait encore l’aimable. La position d’un secrétaire d’État et non d’un philosophe. […] Mais que diront mes petits-enfants quand ils viendront à comparer mes tristes ouvrages avec ce riant, mignon, efféminé, vieux coquet-là ? Mes enfants je vous préviens que ce n’est pas moi. J’avais en une journée cent physionomies diverses selon la chose dont j’étais affecté. J’étais serein, triste, rêveur, tendre, violent, passionné, enthousiaste mais je ne fus jamais tel que vous me voyez là […]. »
Diderot pose la question de la ressemblance ; selon lui, elle est intéressante pour les contemporains d’un modèle, mais seul le style de l’artiste est essentiel aux yeux de la postérité.

– Site consacré à Diderot et l’Encyclopédie
– Diderot et d’Alembert, Encyclopédie

- À propos de l’œuvre
- La grande affaire de Diderot
- Les objectifs
- Les sources
- Les rédacteurs
- Extraits
- Citations
RESSOURCES
Le travail théorique de Diderot est directement lié à celui des autres représentants de la pensée matérialiste, au premier rang desquels Helvétius et d’Holbach. Diderot réfute le premier et collabore avec le second, tous appartiennent à une même mouvance intellectuelle dont ils incarnent les variations et les nuances. voir plus sur BNF
> Helvétius, De l’esprit, Paris, Durand, 1758
> Helvétius, De l’Homme, de ses facultés intellectuelles et de son éducation, 1773
> Holbach, La politique naturelle, ou Discours sur les vrais principes du gouvernement, Londres, 1773
> Holbach, Le bon sens, ou Idées naturelles opposées aux idées surnaturelles, Londres, 1774
> Holbach, Éthocratie ou le Gouvernement fondé sur la morale , Amsterdam, Marc-Michel Rey, 1776