28
janvier
2023
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Institut des Sciences Juridique et Philosophique de la Sorbonne (ISJPS, UMR 8103)
Centre de Philosophie Contemporaine de la Sorbonne (PhiCo)
Composante Expérience et Connaissance (EXeCO)
La prochaine séance du séminaire « Rencontres phénoménologiques » aura lieu le
samedi 8 octobre 2022 (10h-12h) en Sorbonne, salle D 617.
Nous recevrons Mariana Larison, qui proposera une communication intitulée : « Programme d’une phénoménologie de l’institution »
Mariana Larison est actuellement professeur à la chaire de gnoséologie de la Faculté de philosophie et des lettres de l’Université de Buenos Aires (UBA) et dans les chaires de gnoséologie et de philosophie spéciale à l’Universidad Nacional de General Sarmiento (UNGS). Elle est également chercheuse au Conseil National de la Recherche Scientifique de l’Argentine (CONICET), où elle travaille actuellement sur la phénoménologie de l’institution. En 2012, elle a traduit et édité en espagnol La institución. Resúmenes de curso en el Collège de France 1954-1955 de Merleau-Ponty et a publié en 2016 L’Être en forme. Dialectique et phénoménologie dans la dernière philosophie de Merleau-Ponty aux éditions Mimésis, dans la collection « L’œil et l’esprit ».
« Peu d’ouvrages, parmi les nombreuses productions sur Merleau-Ponty, éclairent à ce point notre compréhension de cet auteur, en démêlant les fils qui convergent vers l’ontologie de cette ‘‘dernière période’’, dont l’unité se trouve par-là même et pour la première fois fondée. Discrètement érudit, clair et profond, le livre de Mariana Larison [L’Être en forme. Dialectique et phénoménologie dans la dernière philosophie de Merleau-Ponty, Paris, Mimésis, coll. « L’œil et l’esprit », 2016] évite toute facilité et tout mimétisme, ne considère rien comme allant de soi et sert ainsi la pensée de Merleau-Ponty en ce qu’elle a de plus puissant. Pour cette raison il se recommande comme une référence pour qui s’intéresse à l’œuvre de Merleau-Ponty et, au-delà, à la philosophie française du siècle dernier » (extrait de la préface de Renaud Barbaras).
Programme :
– 8 octobre 2022 : Mariana LARISON (CONICET / UBA / UNGS) – « Programme d’une phénoménologie de l’institution »
– 28 janvier 2023 : Laurent LAVAUD (École Normale Supérieure de Lyon) – « Levinas, Derrida, Marion, interprètes de l’au-delà de l’être »
de 10h à 12h, salle D617 (17 rue de la Sorbonne)
Laurent Lavaud est actuellement professeur de philosophie antique à l’Ecole Normale Supérieure de Lyon. Spécialiste reconnu de la pensée néo-platonicienne et plotinienne, il s’intéresse, comme en témoignent les cours qu’il donne à l’ENS de Lyon, aux rapports de la philosophie antique ou du néo-platonisme et de la phénoménologie, qu’il s’agisse de l’interprétation phénoménologique, par les phénoménologues de la tradition, d’auteurs antiques, ou de la présence, chez ces mêmes phénoménologues, d’un héritage antique explicite ou latent. Il a publié D’une métaphysique à l’autre. Figures de l’altérité dans la philosophie de Plotin chez Vrin en 2008, ainsi que Mystique et monde, aux éditions du Cerf en 2015.
INSCRIPTION OBLIGATOIRE : cliquer ici
– 11 février : Philippe CABESTAN (Lycée Janson de Sailly) – « L’énigme du transsexualisme »
– 11 mars : Inga RÖMER (Université Grenoble Alpes) – « Le texte de la phénoménologie »
– 25 mars : Natalie DEPRAZ (Université de Rouen)
– 13 mai : Claudia SERBAN (Université Toulouse Jean Jaurès)
En raison des mesures de sécurité, les personnes intéressées ne disposant ni d’une carte d’étudiant, ni d’une carte professionnelle doivent impérativement s’inscrire à l’adresse philo-recherche@univ-paris1.fr.
Toutes les informations autour du séminaire sont sur le carnet de recherche de la composante EXeCO : https://execo.hypotheses.org.
Renaud Barbaras, Charles Bobant, Charles-André Mangeney
28
janvier
2023
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
HIPHIMO
Thème de l’année :
Concevoir la liberté. Hegel et l’avènement d’un concept
La liberté est un concept clé de la philosophie kantienne et post-kantienne. Kant fonde sa philosophie pratique sur cette notion tout en attribuant à la raison pratique le premier rang parmi les « facultés de l’âme ». Schelling y voit carrément la « chose en soi », celle qui seule vaut la peine, en dernière conséquence, d’être connue et que Kat n’aurait fait qu’entrevoir (Freiheitsschrift). Pour Fichte, la pratique de la Wissenschaftslehre est pur exercice de liberté, comme il ressort de plus en plus des écrits tardifs. Hegel enfin fonde sa conception du droit sur l’idée de liberté et sa réalisation. Tout cela est bien connu et étudié. Mais savons-nous vraiment pourquoi cette génération de contemporains de la grande révolution française a tant convoité le concept de liberté ; et surtout, savons-nous vraiment ce qu’ils ont entendu par là ?
Pour Hegel, dit-on, la liberté est l’être près de soi dans l’autre (Bei sich Sein im Anderen) . Or, il n’est pas sûr qu’il s’agisse là d’une définition de la liberté. Il est sans doute plus prudent de dire qu’à chaque fois que nous constatons un être auprès de soi dans l’autre, on constate aussi une forme de liberté. Le terme « liberté » se réfère d’une façon différente à la chose qu’il dénomme que le terme « Être auprès de soi dans l’autre ». La façon dont un terme désigne son corrélat n’est pas indifférent à la nature de ce corrélat ou de cette « réalité ». Si nous acceptons pour un instant cette différence entre la liberté et l’être auprès de soi dans l’autre, il devient possible de poser la question que voici : Pourquoi et dans quel sens la liberté se produit-elle à chaque fois qu’une chose est auprès de soi dans l’autre ? Pour pouvoir répondre à cette question, il faudrait pouvoir parler de la liberté sans avoir recours d’emblée à sa prétendue définition.
Si l’interprétation traditionnelle de Hegel et de sa conception de la liberté s’est focalisée sur sa philosophie du droit, de l’éthicité, de la politique, il semble nécessaire dorénavant de se pencher aussi sur d’autres textes et d’autres parties du « système » dans lesquelles il est bien question de liberté afin de mieux cerner les ressorts plus profonds qui régissent l’usage de ce concept et le désir de le mettre autant en avant. Ainsi, la théorie de l’esprit absolu semble regorger d’endroits où la notion de liberté est engagée : L’art n’est-il pas structurellement « libre » du fait de porter son but en lui-même ? D’où : quel rapport entre les institutions de l’esprit absolu et les institutions de l’esprit objectif ? Puis : Peut-on penser la divinité sans recours au concept de liberté ? Que penser de la nature, issue d’un Ent-schluß (dé-cision) de l’idée, dont Hegel précise qu’il est libre ? (Simple pensée créationniste ou philosophème sérieux encore à assimiler ?) Quel statut accorder à la liberté dans le concert des concepts de la modalité logique ? Comment penser la liberté qu’il faut bien attribuer à l’absolu ? Suffit-il de dire que l’absolu est auprès de soi dans l’autre ?
Pour aborder ces questions, qui semblent d’abord concerner l’interprétation interne de différentes parties du système hégélien, il nous semble essentiel de confronter les interventions théoriques de Hegel avec d’autres points émergeants du discours sur la liberté, tel qu’il apparaît autour de la figure de Kant et de la grande révolution, ainsi que les tentatives critiques qui les ont accompagnés et suivis.
(1)Voir par exemple l’article très complet de Hans Friedrich Fulda : „Der eine Begriff als das Freie und die Manifestationen der Freiheit des Geistes“, in : Anton Friedrich Koch, Friederike Schick, Klaus Vieweg, Claudia Wirsing (Hg.), Hegel – 200 Jahre Wissenschaft der Logik, Hamburg : Meiner, 2014, p. 15-40
INSCRIPTION OBLIGATOIRE : gilles.marmasse@univ-poitiers.fr
– samedi 15 octobre 2022
Gauthier Tumpich (université Montpellier 3) : "La volonté de liberté comprise comme dépassement dialectique de la volonté de bonheur"
Bruno Haas (université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) : "Liberté l’absolu"
– samedi 10 décembre 2022
Mai Lequan (université Lyon 3-Jean-Moulin) : "Liberté transcendantale et liberté pratique selon Kant : de la spontanéité à l’autonomie et retour"
Jean-Christophe Goddard (université Toulouse Jean-Jaurès) : "Liberté transcendantale kantienne et cosmologie "transcendantaliste" (au sens de M.Sahlins). Une lecture anthropologique de Kant"
– samedi 28 janvier 2023
Alberto Siani (université de Pise) : "Ende der Kunst, Freiheit des Subjekts"
Camilla Brenni (Centre Marc Bloch) : « L’empirisme philosophique selon Hegel : une doctrine de la non-liberté ? »
– samedi 18 mars 2023
Denis Thouard (CNRS) : "Sur Schleiermacher et la liberté"
Christoph Martin (université de Stuttgart) : "Objectivité et Liberté"
28
janvier
2023
Séminaire de recherche 2022-2023 organisé par
Jocelyn Benoist
(Paris 1, ISJPS, PhiCo-EXeCO, IUF)
La philosophie aime chercher, du côté de la fiction, des suggestions de réponses à des questions ontologiques, ou en tout cas fait de la fiction un champ d’application privilégié de ses propres décisions ontologiques, que celles-ci prennent la voie de la libéralité ou au contraire de la parcimonie. En posant la question en termes directement ontologiques, elle néglige souvent de prendre le temps de considérer les modalités propres des discours fictionnels ou des dispositifs et procédés fictionnalisants en général. Le séminaire focalisera l’interrogation sur des expériences et des phénomènes fictionnels effectifs, selon différents sens possibles du mot « fiction ».
La discussion, qui nouera un dialogue entre littéraires et philosophes, tout en explorant de façon ouverte les sens de la « fiction », en littérature aussi bien qu’hors littérature, tournera en premier lieu autour de la question du ou des partages possibles entre ce qui relève ou non de la fiction, et de sa valeur et ses usages en tant que modalité discursive (ou extra-discursive ?) susceptible de construire, dans la réalité et avec des moyens réels, des rapports spécifiques à la réalité.
– Première séance : samedi 29 octobre 2022
André Charrak (Paris 1, PhiCo EXeCO)
Le format des fictions
Il est de fait que l’approche des fictions, en philosophie, a fixé ses critères au plan d’une analyse des unités linguistiques (phrases, propositions, énoncés). Le défaut manifeste de telles démarches est avant tout de n’atteindre qu’un tout petit nombre des fictions effectivement produites – et peut-être aucune, sinon par des allusions qui souvent ne valent qu’en fonction des compétences encyclopédiques du lecteur (celui-ci sachant que tel personnage mentionné dans la théorie est un personnage de roman, par exemple). L’analyse d’un corpus avéré, qu’on empruntera en l’occurrence aux textes philosophiques, nous a conduit à identifier le format caractéristique des fictions au plan des discours – au sens fort où ceux-ci ne sont pas réputés isomorphes aux unités élémentaires. Cette approche ne revendique pas une généralité sans reste et elle s’inscrit dans une typologie des fictions qui, en dernier lieu, permet de reprendre la question du rapport entre récit et philosophie.
INSCRIPTION : cliquer ici
PROGRAMME
29 octobre 2022
André Charrak (Paris 1, PhiCo EXeCO)
Le format des fictions
26 novembre 2022
François Recanati (Collège de France) :
Fiction et simulation
Les personnages de fiction n’existent pas, mais cela n’empêche pas d’en parler ou d’y penser. Cela signifie-t-il qu’on peut faire référence à quelque chose qui n’existe pas ? Pas forcément : on peut maintenir que la référence implique l’existence, et rendre compte du discours fictionnel en soutenant que l’acte de référence y est tout autant fictif que l’entité qu’il vise. Le discours métafictionnel, cependant, se prête à un autre type d’analyse, également compatible avec l’idée que la référence implique l’existence. Selon cette analyse, les personnages de fiction ne sont pas seulement des entités fictives dont on fait comme si elles existaient : ce sont aussi, en tant que créations culturelles, des choses qui existent réellement, et auxquelles on peut légitimement faire référence.
INSCRIPTION : cliquer ici
– 17 décembre 2022
Carola Barbero (Université de Turin) :
Anatomie de la littérature
– 28 janvier 2023
Anne Teulade (Université Rennes 2) :
La fiction pour scénariser le réel, le réel pour modéliser la fiction : le cas Cervantès
Comment la fiction s’insère-t-elle dans la réalité ? Qu’apporte-t-elle en propre à la réalité ? Permet-t-elle de la vivre et de la penser autrement ? L’œuvre de Cervantès offre des pistes de réflexion originales sur ces questionnements.
À une époque où les pouvoirs de la fiction sont à la fois craints et questionnés, Cervantès négocie avec les codifications déréalisantes des fictions théâtrales et romanesques contemporaines pour proposer une ouverture de la fiction à la réalité qui ne repose pas sur un simple rapport de référentialité.
INSCRIPTION OBLIGATOIRE : cliquer ici
25 février 2023
Elise Domenach (ENS de Lyon) :
Écofictions cinématographiques : un paradigme Fukushima ?
25 mars 2023
Layla Raïd (Université de Picardie Jules Verne) :
Fiction et grammaire
22 avril 2023
Pierre Fasula (PhiCo EXeCO) :
Les pratiques de la fiction
27 mai 2023
Lionel Naccache (CHU Pitié Salpêtrière, ICM) :
« Neuroscience-Fictions » : neuropsychologie et neurosciences de nos contenus conscients
28
janvier
2023
Journée d’initiation à la recherche
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Université de Lorraine
28 janvier 2023
La question de l’héritage – ses fondements normatifs, ses conséquences économiques
comme ses usages juridiques – prend aujourd’hui une actualité nouvelle non seulement dans le débat politique traditionnel, comme lors de la dernière campagne électorale en France, mais également dans toute une série d’initiatives que l’on peine parfois à catégoriser telle que la décision d’Yvon Chouinard de faire, à sa mort, « de la Terre la seule actionnaire » de son entreprise ou les appels à une taxation plus lourde des patrimoines hérités par le Resource Movement au Canada. Ces débats débouchent d’ailleurs sur des propositions normatives originales (Blanchard-Tirole, 2021) et participent, parfois, à la redécouverte de propositions anciennes, comme les schémas de taxation à la Rignano.
Les raisons de ce renouveau dans l’analyse de la transmission de la propriété par héritage
sont variées et tiennent notamment à une meilleure connaissance des inégalités, de leurs structures et de leur dynamiques (Piketty, 2021), à des interrogations sur les fondements de la propriété privée exclusive et perpétuelle (Posner et Weyl, 2018) et sur ses formes souhaitables (propriété temporaire), à une réflexion continue sur les risques politiques de la concentration des richesses dans une société démocratique (Beckert, ).
L’objet des journées « économie et philosophie » est de contribuer à la réflexion en croisant
les regards des économistes et des philosophes sur cette institution, à bien des égards si
particuliers, de l’héritage. Elles seront l’occasion de redécouvrir la complexité de la théorie libérale dans sa double dimension philosophique et économique, de montrer pourquoi certains auteurs, comme Nozick, ont du mal à échapper à des prises de positions contradictoires et de rappeler comment la philosophie permet de mieux saisir les enjeux de propositions économiques telles que celle de Rignano. Enfin, les différentes communications permettront de réfléchir de manière réflexive sur les méthodes en économie et en philosophie sur cette question en croisant approches d’humanités numériques, approches analytiques ou approches plus herméneutiques.
Bibliographie
Beckert, Jens, 2008, Inherited Wealth, Princeton University Press, Princeton.
Blanchard, Olivier et Jean Tirole, 2021, Les Grands Défis économiques, La documentation française, Paris.
Eyrreguers, Guido et Guido Di Bartolomeo, 2007, “The Debates on Eugenio Rignano’s Inheritance Tax
Proposals”, History of Political Economy, 39(4), pp. 605-638.
Halliday, Daniel, 2019, The Inheritance of Wealth, Oxford University Press, Oxford.
Lamb Robert, 2013, “Inheritance and Bequest in Lockean Rights Theory” in Cunliffe and Erreyguers (eds.),
Inherited Wealth, Justice and Equality, Routledge, Londres, pp. 39-53.
Nozick, Robert, 1974, Anarchy, State and Utopia, Blackwell, Oxford.
Nozick, Robert, 1989, The Examined Life, Simon Schuster, New York.
Piketty, Thomas, 2019, Capital et Idéologie, Le Seuil, Paris.
Posner, Eric et Glenn Weyl, (2018), Radical Markets, Princeton University Press, Princeton
Rignano, Eugenio, 1904, Un Socialisme en harmonie avec la doctrine économique libérale, Giard et Brière, Paris.
Rignano, Eugenio, 1924, The Social Significance of the Inheritance Tax, Knopf, New York.
Saez, Emmanuel et Gabriel Zucman, 2019, The Triumph of Injustice : How the Rich Dodge Taxes and How to Make
Them Pay, WW Norton and co, New York.
Programme
9h30 Café d’accueil
10h00-10h45 – Philippe Gillig (Université de Strasbourg et BETA-CNRS), « Les débats sur l’héritage dans la
tradition libérale »
10h45-11h30 – Marie Bastin (Université Paris 1 et ISJPS – Centre de Philosophie Contemporaine de la Sorbonne),
« Taxer l’héritage selon l’âge de la richesse. Les enseignements normatifs des usages contemporains du
principe Rignano »
11h30-12h15 : Discussion générale introduite par Claire Pignol (Université Paris 1 et PHARE)
12h15-13h45 : Déjeuner
13h45-14h30 : Samuel Ferey (Université de Lorraine et BETA-CNRS), « Appropriation originelle, clause
lockéenne et héritage chez Nozick. Une lecture analytique »
14h30-15h15 : Mélanie Plouviez (Université de Nice Côte d’Azur et CHRI), « Philosophie de l’héritage et
humanités numériques »
15h30-16h30 : Discussion générale introduite par Laurent Jaffro (Université Paris 1 et PHARE)
Maison des Sciences Économiques
106-112 boulevard de l’Hôpital 75013 Paris Salle du 6e étage [rouge](Carte d’étudiant ou carte professionnelle indispensable)[/rouge]
Cette journée est organisée par PHARE et le BETA et soutenue par l’ANR Philherit (ANR 21-CE41-0014), l’Université de Lorraine et l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Contact : Samuel.Ferey@univ-lorraine.fr, jaffro@univ-paris1.fr, claire.pignol@univ-paris1.fr